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PrÉSentation

  • : le blog noureve par : Evelyne
  • : A travers l'écriture poétique ou improvisée dire, écrire, pour se rencontrer et rencontrer l'autre
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Texte Libre

"... soleil-lune charrie d'un seul nuage une goutte de pluie... de Mobert Ritchum dans "Promenoir urbain.


"Ces êtres de dialogue,de partage et de mouvance
                      que nous sommes, vivent de la magie des rencontres,meurent de leur absence." Christiane Singer


Il n'y a rien de nécessaire sauf être là,à chaque instant, de plus en plus. Henry Bauchau

 

 

"Pour désirer laisser des traces dans le monde, il faut en être solidaire." Simone de Beauvoir


Le coeur de ceux que nous aimons est notre vraie demeure


Les quatre accords toltèques:

Que votre parole soit impeccable
Quoiqu'il arrive n'en faites pas une histoire personnelle.
Ne faites pas de suppositions.
Faites toujours de votre mieux.
Don Miguel Ruiz


Un doigt se pose juste à coté sur un clavier et tout s'envole à jamais...
Un regret s'installe mais ce qui etait n'est plus,l'ordre des chsose aussi.
Des perles d'eau se réfléchissent elles-mêmes pour se mettre à glisser ou pas,sur toute cette encre effacée ...
Juste un instant           un acte se pose          ou se retourne vers un néant préexitant.
Voilà,je me souviens de rouge, de loups aussi.D'indiens  sûrement                et puis voilà encore.


"C'est une erreur de croire nécessairement faux ce que l'on ne comprend pas" Gandhi

...Le désir est au coeur de cette alchimie qui transforme la douleur en force. Il est cette grâce qui fait jaillir, de la détresse, la féérie. IL nous aide à nous affirmer hors de tout concept, et nous rend libres d'exister à l'image de notre âme. Il est la main que nous nous tendons pour sortir de la fange. Blanche de richemont dans " Eloge du désir".

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                                                                                                                 Retrouver juste la souvenance de cette énergie là. Pour m'en souvenir et y retourner, pour me retrouver entière. Ce soir les jours s'amoncellent dans une seule journée. et c'est trop lourd. Le barrage est prêt de lâcher. D'abord le précipice de mots engourdis. Eux-mêmes ,ils ne savent plus très bien ce qu'ils font là. Ils en ont perdus leurs sens.C'est trop bête. Attendre encore un peu  qu'ils se desemmêlent. Et puis hurler à la lune qui n'est pas encore au rendez-vous: j'ai mal et puis voilà. Leur dire à eux qui marchent si près de moi que j'ai mal et que je suis trop con pour le leur cracher à la gueule. Aspirer cette force là,qui me fait face et me regarde comme un souvenir de ce qui vibre au fond de moi. Si petit, si petit, de façon petitement.

 

Il y a des jours et des lunes que les mots engouffrés à l'intérieur ne sont pas sortis ...
Juste pour prendre l'air ,pour goûter délicieusement septembre finissant.

Il y a des lunes qui parfois font grises mines au soleil levant. Et j'entends l'impatience me parlait tout bas. En confidence. Un secret de fille,pas encore de femme. Un secret joliement gardé.
De tous les tours à dessiner sur la terre oû je marche avec un peu plus de force sensuellement gagnée.A bout de coeur écorché, mais comme par magie de la vie pétillante qui tout au fond fait toujours des pieds et des mains, un coeur battant la campagne avec trompette assortie.Au couvert d'une prairie de Lewis Caroll.

 Le noeud gordien: une difficulté qu'on ne peut résoudre, un obstacle que l'on ne peut vaincre.Se tirer d'embarras par un moyen expéditif et vigoureux, c'est trancher le noeud gordien















                                                                                                                                         Lumière
                                                                                                                                         Eclabousse
                                                                                                                                        



Des oranges couleur de peau
S'échangent des paroles
De connivence
Sur les façons étranges
De se raconter
La joie et la jouissance.
Et moi je suis toute bleue
De decrypter ces mots
Si chaleureusement
Emis.
Par des sensations
Inaudibles et sensuelles
Pourtant.
Les mots s'ensuivent pas toujours
Et les histoires
Ne se racontent pas non plus.





















L'orange pour espoir.
L'orange pour le contentement.
Si légitime et parfois si volatil .
15 juin 2007 5 15 /06 /juin /2007 13:38

Soir, sourire, souvenir du premier soir de ton premier sourire.

Sûr de toi, déjà averti de ce que je ne savais pas.
Bien assis sur tes pieds, dans une cuisine estudiantine d'un amant passager.

                                                                  Juste avant toi.

Juste le désir vivant au fond de moi d'être prise et remplie par un autre que moi.

                                                                 Ce ne fut pas toi.

Enfouie dans les plis de mon esprit,la souvenance de toi faisait un peu de bruit.Et pourtant sourde j'étais, à cet assourdissement de vérité!

Le désir m'a pris, m'a envouté, m'a entraîné juste à coté de toi.Mais pris dans les ombres de la lumière de tes peurs, tu n'as pas bougé.Rien n'a frémi.

                                             Juste moi, ailleurs,je me suis changée pour un instant en frémissement.

Après.

Juste après,passant les jours,toi, toi, toi, toi,surprenance de ta présence en moi. Why?

Je me suis laissée guidée par une multitude d'anges...jusqu'à toi.
Jusqu'à ton sourire.
Retrouvé une nouvelle fois.
Juste toi,ton sourire et moi.
Déjà nous étions trois.

                                                                                   Je ne savais toujours pas.

Je ne savais pas que les fils tendus, brûlants de lumière par des sages sorcières étaient en train de se dérouler sous mes pas créant le pont d'une destinée entre ton âme et la mienne.Et reliant ton sourire à mes yeux de toile d'araignée tissée par des perles douces et aimantes, n'était pas vraiment achevée.

Alors.

Des pas de danse chorégraphiés par d'invisibles anges,nous nous sommes rencontrés.

Le temps s'arrête, l'évidence!

Juste, encore à contre-temps,je me suis projetée ailleurs.
                                                          Ce n'était pas encore toi.

Ensuite, c'est le trou noir.
C'était toi et pas toi. Pas encore toi,juste une idée de toi.
Le temps s'immisce entre toi et moi.
Chronos du temps d'avant a introduit le dieu Pan. Longtemps le temps a pris son temps  et nous nous sommes éveillés, oubliés du ciel. Nous étions à nuveau deux: toi et moi.

 

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